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Entrepreneurs freelance, formateurs : pour améliorer vos compétences en RSE, découvrez ce qu’en dit le partenariat du projet SURE dans sa nouvelles newsletter !
Quel lien pouvons-nous faire entre les violences entre partenaires et le lieu de travail ? Cette problématique qui relève a priori de la vie privée a pourtant des conséquences significatives notamment sur le bien-être des employé·e·s confronté·e·s à ce type de violences et celui de leurs collègues mais aussi sur l’entreprise et son fonctionnement.
Le 7 et 8 septembre dernier, les partenaires du projet européen APTE se sont réuni·e·s à Budapest en Hongrie pour discuter des modalités de la troisième et dernière promotion d’APTE ainsi que des dernières productions attendues dans le cadre du projet qui prendra fin en mars 2024.
Le gender budgeting est une analyse des politiques budgétaires par le prisme du genre qui pose des questions simples et nécessaires à l’amélioration de l’égalité entre les femmes et les hommes : « Combien ça coûte ? Qui en bénéficie ? Comment cela est-il distribué ? » Pourtant, l’Union européenne a encore un grand rôle à jouer dans sa diffusion.
En 2018, POUR LA SOLIDARITÉ-PLS lançait le réseau CEASE, en Belgique : le réseau d’entreprises et organisations engagées dans la lutte contre les violences conjugales. Aujourd’hui, PLS vous fait découvrir des témoignages de ces entreprises engagées.
POUR LA SOLIDARITÉ-PLS vous invite à une rencontre pour partager et analyser les initiatives françaises et belges visant à favoriser la mobilisation des pères dans la parentalité.
POUR LA SOLIDARITÉ-PLS lance son nouveau dispositif d’accompagnement pour les jeunes bruxellois·e·s de 16 à 35 ans qui sont en décrochage scolaire et/ou social et qui ont des antécédents judiciaires
« Marolles&Ssens » est un dispositif d’accompagnement pour les jeunes de 16 à 35 ans qui sont en décrochage scolaire et/ou social ou qui ont des antécédents judiciaires. L’accompagnement se fait au niveau individuel et collectif.
Chaque année, le 20 juin marque la Journée mondiale des réfugié·e·s, destinée à visibiliser et à rendre hommage aux personnes qui ont été contraintes de fuir leur pays. Depuis 2014, plus de 25 000 (!) personnes sont mortes en tentant de traverser la Méditerranée, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM)¹. Ces drames à répétition ne suscitent plus beaucoup d’émotions et d’intérêts en Europe. Pourtant, le manque criant d’aide apportée à ces personnes et leurs embarcations de fortune continue de coûter de nombreuses vies humaines.
La « Forteresse Europe » se renforce encore un peu plus aujourd’hui, suite à l’accord sur la migration conclu ce 8 juin par les ministres européen·ne·s de l’Intérieur.
