La technologie du blockchain a un fort potentiel disruptif dans de nombreux domaines. En effet, cette technologie permet de diminuer le nombre d’intermédiaires dans le traitement des données et de décentraliser leur stockage afin que le système soit plus sécurisé, transparent et permette d’améliorer les services proposés aux citoyens. Quant au blockchain, il offre plus de flexibilité et de capacité opérationnelle.
La DLT partage de nombreuses similitudes avec les principes fondamentaux des coopératives et de l’économie sociale en général.
Le but n’est pas seulement de développer des solutions de stockage de données décentralisées efficaces et à coûts réduits applicables aux défis de l’innovation sociale mais aussi de faire de la technologie des registres partagés un outil pour le développement des structures de l’économie sociale.
Parmi les participant-e-s à l’atelier, seront présents :
- Madame Ulla Engelmann, Chef d’unité des technologies avancées, clusters et Economie sociale, Commission européenne, DG Marché intérieur, industrie, entrepreneuriat et PME
- Monsieur Fabrizio Sestini, expert en innovation sociale et digitale, Commission européenne, DG CONNECT (Réseaux de communication, contenu et technologies)
- Monsieur Pierre Marro, Commission européenne, DG CONNECT (Réseaux de communication, contenu et technologies)
- Monsieur Francois-Xavier Thoorens, co-fondateur de la SCIC ARK Ecosystem (France)