N’oublions jamais les ravages économiques et sociaux provoqués par les politiques d’austérité des années 2010, imposées après la crise financière : ces mesures ont creusé les inégalités, freiné la croissance, fait exploser le chômage et plongé des millions de personnes dans la précarité.
Malgré cet échec retentissant, les décideur·euse·s politiques osent nous resservir la même recette toxique : sabrer dans des économies déjà fragilisées sous prétexte de réduire les déficits et de relancer l’emploi.
Pourtant d’autres solutions existent comme une fiscalité qui fait contribuer les plus hauts revenus ; des investissements publics massifs pour stimuler une transition juste ; le renforcement des protections sociales pour ne laisser personne sur le carreau ; une lutte acharnée contre la fraude et l’évasion fiscale !
Il est temps d’imposer nos choix, ceux proposés ont déjà fait assez de dégâts ! Nous étions 100.000 dans les rues de Bruxelles. Soyons 200.000 demain à Paris, Berlin, Lisbonne… Unissons nos forces.
Françoise Kemajou,