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Face au désamour et rejet croissant de l’UE, symbolisé par le Brexit et la montée des populismes, l’ouverture de dialogue avec et entre les citoyen-ne-s des États membres est plébiscitée par certain-e-s dirigeant-e-s européen-ne-s. Si l’idée semble ambitieuse, elle n’en est pas moins sujette à réserves.
Dignité humaine, droit à la vie, liberté, égalité, interdiction de la torture et de l’esclavage, démocratie, solidarité sont autant de valeurs propres à la Charte européenne des droits fondamentaux proclamée en 2000 à Nice et devenue juridiquement contraignante par le Traité de Lisbonne de 2009. Mais aujourd’hui, ces droits fondamentaux, supposés universels, semblent dépendre de la nationalité, de l’origine voire de la religion de celui ou celle qui les revendique.
En analysant l’impact de la financiarisation et de la crise financière sur le bien-être social, le projet européen FESSUD donne des éclairages sur les relations qu’entretiennent les ménages européens avec le système financier. POUR LA SOLIDARITÉ – PLS résume ces relations dans une infographie.
Depuis la crise économique et financière de 2007-2008, les États sont accusés d’avoir permis à la finance de se développer démesurément, d’accumuler un pouvoir politique excessif et de s’être éloignée de l’économie réelle, de la vie quotidienne des citoyens. Dans cette étude, POUR LA SOLIDARITÉ se penche sur des questions d’intérêt public relatives à la finance.
Dans une démarche collaborative, le projet CO-ACTE a élaboré des mesures pour évoluer vers une société co-responsable pour le bien-être de tous. PLS soutient ce projet citoyen en contribuant à la finalisation de la feuille de route qui sera proposée aux autorités européennes.
Grèves, tensions démocratiques et mouvements sociaux d’un côté ; référendums, innovations sociales et initiatives citoyennes numériques de l’autre. L’actualité brosse un tableau mitigé : que veut dire être citoyen en 2016 ? À la lumière de quelques exemples clés, cette newsletter offre la possibilité de mieux saisir et, par là même, nuancer les mutations en cours.
« Irresponsable », « illégal », « anti-démocratique » : voici comment les éditorialistes et hommes politiques qualifient les récentes grèves en France et en Belgique. La grève est pourtant un recours légal. À condition qu’elle soit « mise au service d’intérêts professionnels qui en constituent le motif légitime. »[1] Mais parfois, la limite est étroite entre revendications professionnelles et revendications politiques. Alors, la grève est-elle démocratique ?
Non contente de révéler une vague de haine généralisée, la crise migratoire que traverse l’Europe depuis plusieurs mois a même exacerbé la montée d’un populisme aussi alarmant que diffus au sein de l’Union européenne. Des rubriques « politique » à « faits divers », les médias regorgent de contenus attisant le repli sur soi.
Dans un contexte où les mesures sécuritaires et les restrictions budgétaires rythment les marges de manœuvre de l’État, Denis Stokkink fait le point, dans le quotidien Le Soir du 21 décembre 2015, sur les solutions à apporter face à un gouvernement qui peine à répondre aux besoins sociaux existants.
Service citoyen, civique, civil, volontaire, d’utilité collective… Si les appellations varient, les dispositifs mis en place par les différents pays européens sont peu ou prou similaires, cherchant des voies pour encourager et reconnaître l’engagement civique des jeunes. Dans cette Note d’analyse, POUR LA SOLIDARITÉ propose un panorama des initiatives européennes afin d’appréhender un possible service citoyen belge.